Ce deuxième spectacle jeune public emmène les enfants dans l’univers des tsiganes :
contes, mime, musique du violoncelle et danse traditionnelle… autant d’éléments qui enrichissent ce spectacle étonnant et dépaysant !
Le conte…
L’univers du conte est marqué par les oppositions : les méchants sont très méchants, et les gentils vraiment gentils ! Le gris n’existe pas. L’on est soit riche soit pauvre. Cet univers est facilement identifiable par les enfants, qui ont du mal assimiler la demi-mesure. Les contes les aident à résoudre les conflits affectifs et parlent à leur inconscient. Depuis toujours, on considère les contes comme la base de l’éducation morale. Le merveilleux permet de satisfaire, dans l’imaginaire des enfants, des désirs de métamorphose, de toute puissance, de transformation. Les personnages effrayants permettent aux enfants de donner un visage à l’angoisse et sont très utiles à leur appréhension du monde, de leurs peurs, de l’autre.
Dans ce spectacle, ‘La petite tzigane et la fleur de fougère’, l’enfant retrouve des personnages de bravoure, des personnes généreuses et charitables, ou au contraire des gens méchants, cupides ou rusés.
L’ambiance créée autour du conte Tsigane, porté par la musique du violoncelle, enrichit l’imaginaire des enfants.
Les tsiganes
Ils sont probablement aux alentours de 300 000 en France aujourd’hui. Certains ne voyagent plus. Certains voyagent une partie de l’année. D’autres voyagent tout le temps.
On leur donne de nombreux noms : tsiganes, gitans, bohémiens, romanichels.
Qui sont ces gens différents ? et d’où viennent-ils ?